Pourquoi ce besoin d'ancrer les prémices d'une résilience dans l'exigence du mea culpa d'un passé ?
On pourrait imaginer simplement ne s'occuper que du présent en
tirant des enseignements du passé qui deviendrait un terreau d'apprentissage.
Ne pas dépenser l'énergie à fustiger et punir ou trouver des boucs émissaires ... mais apprendre à être meilleur grâce à l'éclairage du passé.
Cette réflexion pourrait être menée dans le domaine public de la politique, au niveau social autant que dans la sphère privée familiale.
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