enquête sur le coût de leurs études à la rentrée 2013, auprès de 1 220 étudiants sur 7 500 en tout, en France.
Les franciliens paient deux fois plus que les provinciaux
Les inégalités sont criantes entre les régions et Paris puisque la
facture moyenne des frais de scolarité passe du simple au double : 6 446
euros en Ile-de-France (en hausse de +1,55% par rapport à 2012) contre
3 207 euros en régions (+5,93%). Il faut bien sûr y ajouter les dépenses
de logement (71% des étudiants en kiné n’habitent pas chez leurs
parents) qui accentuent l’inégalité au détriment des franciliens,
puisque le loyer mensuel moyen s’élève à 640 euros en Ile-de-France
contre 442 euros en province.
Aux inégalités régionales s’ajoutent celles liées au statut, public,
associatif ou lucratif de l’institut de formation de
masso-kinésithérapie (IFMK) fréquenté.
Explosion des prix dans le public
Les frais dans les instituts publics font le grand écart, de 183
euros (chiffre relevé à Limoges) à 6 000 euros. La moyenne s’établit à
1 015 euros, en forte hausse, de 27%, depuis un an, et de 127% depuis
2009, soit quatre ans. Le statut public ne garantit, en effet, pas la
modération des frais, puisqu’elle dépend de la générosité de la
contribution des Régions qui, depuis la deuxième loi de décentralisation
de 2004, ont en charge la formation aux professions paramédicales. Des
instituts récemment installés pratiquent des tarifs élevés, comme celui
de Brest qui accueille sa première promotion de 30 étudiants, depuis ce
mois de septembre, et, bien que public et rattaché à l’université et au
CHU de Brest, réclame 6 000 euros ; à Vichy, la note atteint 4 800
euros ; à Laval, 2 700 euros ; à Dax, 820 euros.
Dans le secteur associatif, la moyenne tourne autour de 5 108 euros,
en hausse, elle aussi, de 3% sur un an, mais c’est là où les prix sont
les plus hétérogènes, entre un minimum à 183 euros et un maximum à 8 445
euros !
Rendement de 30% pour les actionnaires
Dans le secteur lucratif, les tarifs sont certes plus homogènes mais
élevés, de 8 300 à 8 700 euros, avec une moyenne à 8 550 euros, en quasi
stagnation depuis 2012 (+0,64%) ! L’institut de Liège détient la palme
de la cherté (8 700 euros) devant les deux parisiennes, Saint Michel et
Assas (8 450 euros), cette dernière venant d’être rachetée par le fonds
d’investissement Montefiore, de Jean Marc Espalioux, ex-patron du groupe
hôtelier Accor. Elle y rejoint onze instituts supérieurs d’optique, et
Montefiore annonce à ses bienheureux actionnaires un rendement de 30%.
Isabelle Rey-Lefebvre
La Fédération nationale des étudiants en masso-kinésithérapie de France a, pour la troisième année consécutive, mené son jeudi 26 septembre 2013
vendredi 13 septembre 2013
les jeux de pouvoir, suite
La définition donnée par Jean-Jacques CREVECOEUR :
Etre capable de faire dire, penser, ressentir quelque chose à quelqu'un
contre son gré
parfois à son insu
sans en prendre la responsabilité.
exemple :
- "oh zut il faut encore sortir la poubelle !"
... en espérant que l'autre le fasse.... sans le dire clairement...
ou plus subtilement.... dans des domaines plus délicats....
mettre la pression psychologique,
la distorsion entre le message explicite / implicite,
la peur des représailles (du côté de la "victime".... qui peut elle aussi profiter de son statut pour manipuler son "bourreau" par mille façons...)
Soyons vigilants, à n'être ni d'un côté, ni de l'autre.
Etre capable de faire dire, penser, ressentir quelque chose à quelqu'un
contre son gré
parfois à son insu
sans en prendre la responsabilité.
exemple :
- "oh zut il faut encore sortir la poubelle !"
... en espérant que l'autre le fasse.... sans le dire clairement...
ou plus subtilement.... dans des domaines plus délicats....
mettre la pression psychologique,
la distorsion entre le message explicite / implicite,
la peur des représailles (du côté de la "victime".... qui peut elle aussi profiter de son statut pour manipuler son "bourreau" par mille façons...)
Soyons vigilants, à n'être ni d'un côté, ni de l'autre.
mercredi 11 septembre 2013
ma cuisine intuitive
RECETTE TARTE LEGUMES (photo non contractuelle !)
Précuire des légumes (aujourd’hui : navets, haricots, courgettes, aubergines, carottes, prévoir une bonne couche.
Mixer du fromage de brebis ou de chèvre avec de la crème de soja et 2 gousses d’ail. Rajouter quelques herbes, épices, suivant goût… curcuma, herbes de Provence etc…
PATE : Farine bio semi-complète – purée d’amandes – huile d’olive - un peu de sel
L’étaler, la précuire.
Ajouter des légumes précuits et faire couler par-dessus le mélange épais fromage-crème.
Saupoudrer des graines de sésame, enfourner. Un délice …
Variante : champignons….tomates/aubergines/courgettes …. Poireau…. Chou…. Suivant saison.
ps la photo ne correspond pas (n'ayant pas pris le temps d'en prendre une aujourd'hui !).... mais la tarte présentée est aussi issue de ma cuisine intuitive.... surprenante... mais difficile à copier exactement, évidemment ! les ingrédients ne sont pas pesés et le résultat non prémédité .... risqué ? j'ai très peu de déceptions et beaucoup de belles surprises ! des goûteurs attitrés avalisent les créations.
Autre composition : légumes de saison, galettes protéinées (légumineuses + oeufs et sésame), citron, graines germées.mardi 10 septembre 2013
les pistes de guérison
Partage courageux de JJ CREVECOEUR : à chacun de le laisser filtrer à travers nos couches multiples de protection, jugement, peur, blessures... Tel un cours d'eau qui s'infiltre dans une terre pas trop imperméable quand même ! pas trop poreuse non plus... équilibrée... le terreau de notre vie, amendé par toutes les expériences quelles qu'elles soient, mais aussi marqué par la subtile alchimie personnelle, notre façon de le travailler, d'accueillir les apports qui se présentent à nous, peut-être aussi notre capacité à le protéger de la pollution, des éléments toxiques... pourtant nécessaires pour énergiser son immunité naturelle et qui sait... amender une terre aride à la base.
l'article de Jean-Jacques CREVECOEUR :
LES PISTES DE GUÉRISON (extrait)
... http://creer-une-meilleure-vie.com/neosante-22-guerir-lorsquaucune-solution-concrete-nest-possible/ .... voir le site
...plonger dans la douleur émotionnelle ...
...reconnaître sa part de responsabilité....
...changer son regard sur l’événement. ....
...appréhender l’événement sans aucun jugement analyser son système de valeurs .....
travail sur soi, honnête et profond, régulier et patient. Le docteur Hamer répétait souvent : « Informez-vous avant que vous ne tombiez malade ! » En écho à son conseil, je concluerais cet article en disant : « Travaillez sur vous avant que vous ne tombiez malade ». Car je suis bien conscient que lorsque l’incendie se déclare, il est souvent trop tard pour suivre des cours de sapeur-pompier… L’acceptation profonde de ce qui est nécessite un apprentissage dans la durée. Sans cela, la seule issue pour nous serait alors de nous en remettre aux autres pour être pris en charge de manière allopathique… Suite de la réflexion le mois prochain… (JJ Crevecoeur)
l'article de Jean-Jacques CREVECOEUR :
LES PISTES DE GUÉRISON (extrait)
... http://creer-une-meilleure-vie.com/neosante-22-guerir-lorsquaucune-solution-concrete-nest-possible/ .... voir le site
...plonger dans la douleur émotionnelle ...
...reconnaître sa part de responsabilité....
...changer son regard sur l’événement. ....
...appréhender l’événement sans aucun jugement analyser son système de valeurs .....
travail sur soi, honnête et profond, régulier et patient. Le docteur Hamer répétait souvent : « Informez-vous avant que vous ne tombiez malade ! » En écho à son conseil, je concluerais cet article en disant : « Travaillez sur vous avant que vous ne tombiez malade ». Car je suis bien conscient que lorsque l’incendie se déclare, il est souvent trop tard pour suivre des cours de sapeur-pompier… L’acceptation profonde de ce qui est nécessite un apprentissage dans la durée. Sans cela, la seule issue pour nous serait alors de nous en remettre aux autres pour être pris en charge de manière allopathique… Suite de la réflexion le mois prochain… (JJ Crevecoeur)
lundi 9 septembre 2013
"devenir meilleur"....
au contact de certaines personnes, dans certains milieux...
se poser cette question
un bon critère si on veut savoir si on est "sur le bon chemin".
"être meilleur", c'est quoi ?
tolérance, ouverture, partage, avoir confiance, être reconnaissant... (à compléter....)
(se) pardonner.. ?
non pas enfouir, oublier....
mais pouvoir se dire "cela a été, oui" ; on ne modifie pas le passé.
Par contre aujourd'hui : j'en fais quoi, moi ? ... perpétrer les dégâts ? les amplifier ? me complaire dans le rôle de victime ? me venger ? transmettre mes blessures à la génération suivante ?
ou en faire une expérience, un apprentissage, une occasion de devenir un peu plus conscient ?
se poser cette question
un bon critère si on veut savoir si on est "sur le bon chemin".
"être meilleur", c'est quoi ?
tolérance, ouverture, partage, avoir confiance, être reconnaissant... (à compléter....)
(se) pardonner.. ?
non pas enfouir, oublier....
mais pouvoir se dire "cela a été, oui" ; on ne modifie pas le passé.
Par contre aujourd'hui : j'en fais quoi, moi ? ... perpétrer les dégâts ? les amplifier ? me complaire dans le rôle de victime ? me venger ? transmettre mes blessures à la génération suivante ?
ou en faire une expérience, un apprentissage, une occasion de devenir un peu plus conscient ?
mercredi 4 septembre 2013
A propos de la pédagogie
(Auteur : "Un parmi Nous
après la lecture d'un article dans le magazine KAIZEN.
Philippe Nicolas développe un type de pédagogie qui est
très répandu aujourd'hui, même si l'on n'en parle pas plus que ça. C'est
la pédagogie du projet, préconisée depuis plus de trente ans dans les
programmes et instructions officielles qui, en effet, permet une
approche pluridisciplinaire, un voyage transdisciplinaire susceptibles
d'inscrire les situations d'apprentissages dans un cadre motivant et
mobilisateur jusqu'à observer une motivation qui s'autonomise, chez des
élèves aux attitudes d'autant plus responsables qu'ils s'impliquent
personnellement dans le projet.
Mais pour que cela soit effectivement opérationnel, une expertise
didactique est indispensable chez le professionnel : il faut de réels
contenus d'apprentissages, qui nécessitent une progressivité
(construction des concepts). Enfin, le professeur doit développer une
réelle capacité à déterminer la pertinence (ciblage d'objectifs, 10
parmi 100), la cohérence (continuité dans les apprentissages et
différenciation pour prendre en compte la singularité de chacun des
élèves, les besoins éducatifs particuliers) et l'efficacité des actions
menées (mesurer l'écart, soit évaluer sa propre action et ce qu'elle
suscite chez l'élève), ainsi que de grandes qualités communicationnelles
(partenaires éducatifs, élèves, parents, ...).
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