samedi 27 septembre 2014

Parents d'adultes

Après avoir été frondeurs, passage  nécessaire pour s'extraire du "joug" parental, d'autant plus difficile q'il existe un fort lien affectif, l'enfant doit pouvoir peu à peu s'affirmer (et le parent lui laisser cet espace) dans ses choix et sa personnalité forcément unique. 

Après avoir été nourris, les enfants doivent s'affranchir des opinions et du regard des parents sur leurs choix personnels.

Le parent n'est qu'une nourriture, une base dans laquelle le jeune adulte puise, ce qui veut aussi dire qu'il peut rejeter et trouver une voie différente.

L'important est l'équilibre, la cohérence, infiniment plus qu'une idéologie qui n'est pas à transmettre mais plutôt à partager.

D'ailleurs les enfants sont aussi "nourriture" pour les parents..... 

Une éducation pourrait être qualifiée de "réussie" quand le jeune adulte se permet de vivre sa vie sans avoir peur de décevoir les parents.


ces messages qui "tournent" sur Internet

les messages qui "tournent" me dérangent parfois de par leur contenu directif et parfois même menaçant -  je me suis pris un peu de temps pour le reformuler....)


Ma tablée de 8 femmes  (je dirai "de personnes") et plus…

il arrive un moment dans votre vie, où vous choisissez de vous éloigner
de tout drame et des gens qui les créent.
Vous vous entourez de gens qui vous font rire. Oubliez le mauvais, et
concentrez-vous sur le bien.
Aimez (recherchez la compagnie des gens avec qui vous vous sentez bien) les gens qui vous traitent bien, priez pour ceux qui ne le font pas (ou dites-vous qu'elles n'ont pas conscience de ce qu'elles font, ou que vous aussi avez des choses à apprendre à leur contact quand on ne peut l'éviter).
 

La vie est trop courte pour être fâchée de quelque chose.
Tomber fait partie de la vie, se relever aussi.

Je suis censée choisir 8 femmes (je dirai des personnes) qui ont touché ma vie et qui je pense,
pourrait participer à ce "tableau".
S'il vous plaît, me retourner ce courrielN'oubliez pas de simplement
lire la citation.

C'est tout ce que vous avez à faire. Il n'y a rien de compliqué.
(il n'est pas nécessaire de l'écrire à mon sens)
Il suffit d'envoyer ce message à 8 femmes  (je dirai "de personnes") avec qui vous aimeriez vous
asseoir à votre table et laissez-moi savoir ce qui se passe le 4ème jour : je dirai : "soyez conscientes du côté positif dans les jours qui suivent"
 

Vous devez transmettre le message et j'apprécierais que vous le fassiez. NON, je remplace par : "si vous voulez transmettre ce message, merci"
Je vous remercie !

Citation :

"Aujourd'hui, peut-on posséder la paix intérieure ?
Ayez confiance, vous êtes exactement là où vous êtes censées être.

Puissiez-vous ne pas oublier les possibilités infinies qui naissent de la
foi en vous-même et les autres. Puissiez-vous utiliser les dons que vous
avez reçus et transmettre l'amour qui vous a été donné.
Puissiez-vous être fière de vous : telle que vous êtes.
Que cette connaissance s'installe en vous et permette à votre âme d'avoir la liberté de chanter, de danser, de louanger, de donner et recevoir beaucoup   d'amour.
Elle est là pour chacune d'entre nous. "


Maintenant, envoyez ce message à 8 femmes ou plus dans les 5 prochaines  minutes. NON  je dirai : "à qui vous voulez, quand vous voulez, hommes ou femmes".

Et n'oubliez pas de me le retourner.
Je compte comme 1. Vous verrez pourquoi
 
:
 NON, je ne l'écrirai pas



mardi 23 septembre 2014

la déréflexion par la logothérapie

La déréflexion est un parti pris d'ignorer, mais d'ignorer une chose qui peut s'ignorer, que la réflexion n'améliore pas mais empire. En même temps, elle fait plus qu'ignorer, elle est, à quelques égards, plus qu'une manoeuvre de diversion. Elle ne vise pas seulement à détacher le regard du moi, mais avant tout à l'élever au-delà du moi. Elle signifie en dernière analyse un élargissement de l'horizon spirituel, la restauration de l'autotranscendance et la découverte chez le patient de nouvelles dimensions en fait de valeurs et de sens. La logothérapie est en propres termes une psychothérapie par la découverte. Elle ne sacrifie pas à l'illusion d'un monde parfaitement sain, mais elle recherche les parties encore saines, les parties curables dans notre monde nullement parfait, pour tenir la main à l'être privé de repos, de boussole, d'espoir et qui aspire au fond de lui-même au salut.

Elisabeth LUKAS, la logothérapie (logos signifiant la raison et le sens, la signifiance)

dimanche 21 septembre 2014

Un ami

Ne marche pas devant moi, je ne suivrai peut-être pas.
Ne marche pas derrière moi, je ne te guiderai peut-être pas.
Marche juste à côté de moi et sois mon ami.

lundi 15 septembre 2014

les armes, la loi du plus fort

Aujourd'hui dans le journal :

les ventes d'armes baissent, l'économie se porte mal... il faut trouver d'autres contrats de vente d'armes...

Quand on vend des armes, on ne peut pas ignorer l'usage qui en sera fait.

Ne pas en avoir serait se montrer vulnérable et dans l'impossibilité de se défendre en cas d'agression par des groupes armés ...

Armés par qui ?

Le monde est soumis à la loi du plus fort.

Quel est l'état d'esprit du plus fort ? Protéger les faibles ou seulement ceux chez qui il y trouve intérêt....

Difficile de décider de l'attitude à adopter.

La guerre appelle la guerre.... mais comment s'opposer à "la loi du plus fort" ...

Fort sur quel plan ?

Se faire respecter... sans se montrer irrespectueux... est-ce toujours possible....


PAS SEULEMENT POUR LE CHAT GRIS .....

Humans of New York : l’humain d’abord, en photos<div align="left">« Je l'ai trouvé dans une poubelle. Je l'ai appelé Shadow (ombre) parce qu'il me suivait partout. »<br>(New York, USA)</div>

« Je l’ai trouvé dans une poubelle. Je l’ai appelé Shadow (ombre) parce qu’il me suivait partout. »
(New York, USA)
Humans of New York a été fondé en novembre 2010 par le photographe Brandon Stanton, 30 ans. Chaque photo de Humans of New York est accompagnée d’un petit texte, un extrait de conversation entre le photographe et ses modèles de l’instant.
Humans of New York ne limite pas son champ d’investigation à la seule mégalopole américaine, ni même au seul territoire des États-Unis. Brandon Stanton a fait plusieurs périples au Moyen-orient (Iran, Jordanie, Irak...), s’est arrêté en Afrique noire (Ouganda, Sud Soudan...).
<div align="left">« Quelle est la chose la plus importante que votre mère vous ait apprise ? »<br> « Si vous achetez des aliments, vous devez les manger avec quelqu'un d'autre. »<br> (Kampala, Ouganda)</div>
« Quelle est la chose la plus importante que votre mère vous ait apprise ? »
« Si vous achetez des aliments, vous devez les manger avec quelqu’un d’autre. »
(Kampala, Ouganda)
Brandon Stanton vient tout juste de faire un détour par l’Ukraine. Comme sur la majeure partie des clichés de Humans of New York, les sujets photographiés y regardent résolument l’objectif en face.
<div align="left">« Quand j'avais quinze ans, j'ai été violée par trois garçons, pendant un tournoi de gymnastique. J'avais tellement honte que je suis allée m'allonger sur une voie ferrée, et j'ai attendu l'arrivée d'un train. Au dernier moment, j'ai essayé de m'échapper. Je me suis réveillée un mois après. C'était le milieu de la nuit, et j'ai senti immédiatement que quelque chose manquait. J'ai ausculté tout mon corps et j'ai réalisé que j'avais perdu mon bras. Maintenant, je conseille les adolescents diagnostiqués séropositifs. Je suis toujours la première à les rencontrer après qu'ils aient obtenu leurs résultats. J'essaie de leur expliquer qu'il y a un moyen de sortir de situations les plus impossibles. »<br> (Odessa, Ukraine)</div>
« Quand j’avais quinze ans, j’ai été violée par trois garçons, pendant un tournoi de gymnastique. J’avais tellement honte que je suis allée m’allonger sur une voie ferrée, et j’ai attendu l’arrivée d’un train. Au dernier moment, j’ai essayé de m’échapper. Je me suis réveillée un mois après. C’était le milieu de la nuit, et j’ai senti immédiatement que quelque chose manquait. J’ai ausculté tout mon corps et j’ai réalisé que j’avais perdu mon bras. Maintenant, je conseille les adolescents diagnostiqués séropositifs. Je suis toujours la première à les rencontrer après qu’ils aient obtenu leurs résultats. J’essaie de leur expliquer qu’il y a un moyen de sortir de situations les plus impossibles. »
(Odessa, Ukraine)

Une démarche engagée

Brandon Stanton
Brandon Stanton
Et nous, au fait, de quoi pouvons-nous être le plus fier ? Quelle sont nos rêves les plus fous que nous ayons réalisés ? De quels actes pouvons-nous nous enorgueillir ? Oserions-nous poser pour l’appareil photo de Brandon Stanton en regardant l’objectif en face ?
Pour ma part, une de mes plus jolies satisfactions a été de découvrir le site Humans of New York grâce à ma fille de vingt ans. Elle, ses sœurs, ses ami(e)s, et tous celles et ceux de sa génération, dont fait partie Brandon Stanton, que nous stigmatisons si souvent et si facilement pour leur supposée indifférence et leur désengagement (regardez donc l’âge moyen des quelques 9,6 millions de "followers" de HONY).
Car qu’y a-t-il de plus engagée que la démarche de Humans of New York ? L’humain d’abord — tiens, ça me rappelle quelque chose — magnifié par des photos intensément humaines qui resituent l’humain dans son environnement, avec ses désillusions, ses rêves, ses espoirs, ses révoltes...
« Bon, papa, que je t’explique. Si tu ne veux rien rater des photos de Humans of New York, tu ouvres ton compte Facebook, tu vas sur leur page et tu cliques sur le bouton "s’abonner". Oui, oui, là, en haut à droite ! »
<div align="left">« Quel est votre plus grand combat en ce moment ? »<br> « J'ai adopté un fils il y a environ six mois. Il est âgé de 3 ans 1/2 et nous avons des difficultés avec son comportement. Il court en tout sens, déterre les plantes, frappe les objets avec des bâtons. Il a passé toute sa vie dans un orphelinat et a été privé de l'attention des adultes. Le psychologue nous a dit que c'est la raison pour laquelle il agit ainsi. »<br> « Qu'elle est votre moment le plus heureux avec votre fils ? »<br> « Un matin, je me trouvais dans la cuisine, il m'a embrassée sans me demander. »<br> (Korzhi, Ukraine)</div>
« Quel est votre plus grand combat en ce moment ? »
« J’ai adopté un fils il y a environ six mois. Il est âgé de 3 ans 1/2 et nous avons des difficultés avec son comportement. Il court en tout sens, déterre les plantes, frappe les objets avec des bâtons. Il a passé toute sa vie dans un orphelinat et a été privé de l’attention des adultes. Le psychologue nous a dit que c’est la raison pour laquelle il agit ainsi. »
« Qu’elle est votre moment le plus heureux avec votre fils ? »
« Un matin, je me trouvais dans la cuisine, il m’a embrassée sans me demander. »
(Korzhi, Ukraine)

jeudi 4 septembre 2014

A propos de la publicité faite au livre de Mme TRIERWEILER

ne pas l'acheter, ni le lire.

et être vigilant, chacun à notre niveau, à ne mépriser ni les riches, ni les pauvres, ni les étrangers, ni les personnes âgées, ni la caissière de supermarché, ni l'homme public, ni les chômeurs, ni les personnes différentes, ni les animaux, .... que ce soit en pensées, en actes ou en absence d'actes.
il y a du travail pour chacun de nous, plus ou moins subtilement.

.... Il ne restera alors plus le temps de le lire !