dimanche 31 mars 2013

Pâques original dans le temple de la nature

Il faisait bon ce matin, pas de vent, quelques rayons de soleil timide, juste assez pour être à l'aise (en anorak, bonnet et gants !) dans la forêt de hêtres et de bouleau où il est encore possible de nettoyer la forêt, récupérer un peu de bois, donner aux jeunes hêtres fraîchement plantés l'espace nécessaire pour grandir .

Nous avons fait un petit feu avec des branchages, il dégager beaucoup de fumée car tout est encre humide.

Le bébé chien est heureux en liberté dans cette nature, à fouiller dans la tourbe, mordiller des bouts de bois, se lover dans la terre à peine tiède, s'allonger aux pieds d'un arbre en nous surveillant du coin de l'oeil, m'accompagner sur les 10 mètres qui séparent les bouts de bois à ranger sur le tas stabilisé au bord du chemin, faire inlassablement les allers-retours.... lui aussi.
les caresses sont inévitables.... il le sait, le coquin !

Les oiseaux gazouillent. Il faut peu pour être heureux.

Je prends un bout de bois après l'autre pour ne pas porter lourd ; marcher deux fois plus n'est pas pour me déplaire.


Faite attention où poser le pied, il y a des ronces. Cette concentration me donne la sensation agréable d'être reliée à la terre par la plante des pieds. Je fais partie de l'univers... une infime partie.

Marcher en conscience.

La serpette, je m'y suis essayée...

J'ai pensé à "Joseph HAAG", le clochard emblématique de mon enfance à GOERSDORF, j'avais tellement peur de lui ! il avait justement une serpette et je l'ai vu la brandir dangereusement un jour où il était en colère... provoquée par les jeunes garçons qui s'en amusaient....
moi, petite fille, j'ai couru à perdre haleine jusqu'à la maison pour me cacher sous la table, je tremblais.... j'en ai fait des cauchemars.

la serpette sert à ôter les mini-branches des troncs qu'on dénude... sans m'en rendre compte j'ai pris l'outil à l'envers..... c'était beaucoup moins efficace !  mais peu à peu, le temps d'apprivoiser l'outil étranger, je sentais la force qu'il fallait impulser dans ma main, le degré d'inclinaison, le rythme, pour rendre mon geste efficace.

Je me suis souvenu aussi que, petite fille à la maternelle, nous rentrions du bois : lamaîtresse nous chargeait quelques morceaux sur nos petits bras.... et nous allions les ramener à l'aide maternelle qui les entassait dans la remise ; nous faisions aussi des promenades "pommes de pain" que nous ramassions et mettions dans des sacs de jute ; elles servaient à allumer le feu en hiver.... à l'époque on osait encore faire participer des enfants (de 4 à 5 ans) à des travaux basiques "de vie quotidienne" sans avoir "peur" des accidents.... ou de "faire travailler des enfants" !!!! .... aujourd'hui nous risquons de perdre le bon sens.... en pensant les protéger.

 Instants de bonheur simple, être.

 Rien de tel pour laver le cerveau surmené...

je sais bien que ce soir je vais retourner à mon labeur devant l'ordinateur...  c'est ma vie tant que je n'aurai pas pris une autre direction, quand l'opportunité se présentera.

j'ai la chance, plutôt la conscience de savoir que de trimer à être déconnecté de la nature et parfois même de l'entourage n'est pas la vraie vie et que nous avons tous, à un moment ou à un autre, le choix de bifurquer, le moment venu.

Ces moments me porteront un temps ; ils resteront gravés dans ma mémoire ; tôt ou tard je rechercherai, par goût ou par nécessité, à reprendre ce même chemin de simplicité, de connivence avec l'environnement.

Cela ne m'évitera pas de vivre des moments de turbulence mais je reste marquée par ces instants fugaces.

vendredi 22 mars 2013

MEDIAPART.... une autre source d'informations

... j'ai écouté la chronique aujourd'hui
Lire, écouter.... devenir conscient. Ne pas baisser les bras.
"la raison doit préserver le mouvement critique"
"se méfier d'une affirmation qui clôt la discussion..."
MERCI à ces gens courageux, intelligents.
tout à fait autre chose que les journaux qu'on distribue gratuitement pour nourrir le troupeau de mouton.

http://www.mediapart.fr/journal/ecouter/

lundi 18 mars 2013

l'argent, le pouvoir et le "mérite"

Dire que les "riches" sont indispensables car ce sont eux qui font "tourner la boutique"...., eux qui rénovent les immeubles, qui investissent, qui sont parfois bienfaiteurs.....

Cela me gêne.

Car il est facile de se donner bonne conscience en cédant une part après s'être grassement servi,

et d'autres peut-être auraient aussi envie de "donner"..... mais comme ils n'ont même pas assez pour vivre dignement..... ils restent dans la position de ceux à qui on fait plus ou moins subtilement l'aumône.
"ils n'avaient qu"à" "ils n'ont qu'à", entends-je, pour la bonne conscience et éviter de se poser d'autres questions.

Les premiers ont droit à des courbettes.... car "sans eux les marchés s'effondreraient"..... les usines fermeraient..... le commerce péricliterait..... les pauvres gens qui s'échinent dans les usines (ou ailleurs.... car le travail pénible ne se limite pas à la pénibilité physique ou d'apparence) n'auraient même plus de travail...

les seconds...
n'ont certainement pas mérité de gagner plus puisqu'ils n'ont pas fait l'effort d'étudier/ou simplement eu accès aux études....
sont nés dans  une famille qui n'a pas su leur inculquer le respect (de qui ? de soi ? de tous êtres humains ? de la vie en général ?....) grand débat...
car ceux qui ont des besoins démesurés ont-ils appris le respect ? là où l'un se nourrit avec 5 euros par jour, l'autre a besoin de 100 euros... l'aurait-il "mérité" ?

qu'ai-je fait, moi, pour "mériter" de naître dans une famille alsacienne où l'on m'a appris le respect de moi mais aussi des autres, de tous les autres ? même si ce n'était pas le langage direct de mes parents..... quelque part, ce que j'ai vécu m'y a amenée.
MERCI.

J'oeuvre simplement à l'émergence d'autres valeurs que celle de l'argent ; je voudrais voter pour un homme politique pour qui le plus petit d'entre nous, celui qui a le plus de difficultés, soit reconnu, aidé, accompagné, sans jugement, de façon inconditionnelle : ... une société digne de ce nom...

Car qui sommes-nous pour juger.... avons-nous connaissance tous les éléments ? de l'histoire de générations, de vécus intimes ?





le respect de l'accompagnant

Le profond respect d'un accompagnant, quelqu'il soit, envers un jeune attiré momentanément par les chimères d'apparence et parfois amené à renier quelque peu certaines valeurs;
respect qui ne l'exhorte pas à mener la croisade pour ramener le jeune "à la raison"... à sa raison....
non
juste être avec lui quand l'occasion se présente.
tôt ou tard l'apprenti fera son choix éclairé, ne suivant pas forcément à la lettre les préceptes inculqués, non... il fera des pas sur son propre chemin que lui seul choisit, plus ou moins éclairé.
Il arrosera le terrain de son enfance avec l'eau de son époque.
N'est-ce pas cela une des multiples facettes de l'amour que de proposer de façon inconditionnelle.... tellement inconditionnelle qu'il faut parfois s'effacer même si c'est douloureux ?
... ce qui ne veut dire ni acquiescer, ni cautionner, ni baisser les bras... simplement reconnaître la responsabilité de l'autre sur son chemin....
parfois faut-il simplement rappeler que le pendant de la liberté est justement la prise de responsabilité (hors liens de finances... qui ne doivent pas servir de rênes).

mardi 12 mars 2013

l'alchimie

faire confiance... il faut parfois savoir "couper" la chaîne de négativité dans une famille..... des choses qui font malheureusement partie de l'héritage souvent inconscient.... il faut qu'un "maillon" soit plus fort pour rompre cette chaîne, ou remplacer un maillon de "merde" par de l"or"..... c'est cela l'alchimie !!!! rien à voir avec la valeur vénale de métaux, évaluée par la cupidité ou le besoin de pouvoir de certains hommes, ... c'est bcp plus subtil...

pour cette raison-ci et d'autres, je n'achèterai plus de bijoux en or..... je préfère les petits objets en bois ou autres matériaux, confectionnés artisanalement ; imprégnés de sens.


jeudi 7 mars 2013

conseils de bon sens alimentaire

La médecine officielle a inventé il y a quelques années une nouvelle maladie : l'orthorexie. Cette maladie, proche d'une maladie mentale, serait le fait des personnes qui se méfient de ce qu'elles mangent, scrutent avec attention les étiquettes, et se conforment à des règles très strictes ne laissant aucune place aux aliments jugés malsains. Je pense pour ma part que ce que l'on appelle une maladie n'est en fait qu'une réaction de bon sens face aux manipulations criminelles auxquelles se livrent en permanence les industriels de l'alimentaire et la plupart des agriculteurs. 
Poisson qui ne dit pas son nom, faux œufs bio...
Comment ne pas devenir orthorexique quand pas un jour ne passe sans un nouveau scandale ? 
Après l’affaire (inter)minable de la viande de cheval, voici que l’on apprend que 60% du thon consommé aux Etats-Unis n’est pas du thon et qu’un tiers des poissons vendus ne sont pas ce qu’ils sont censés être (1).
Et chez nous ? Poissons d’élevage pseudo-sauvages, variétés surexploitées que l’on fait passer pour d’autres... Un autre scandale agro-alimentaire se profile.
En parcourant les journaux, j'apprends aussi qu'en Allemagne, 200 exploitations ont été épinglées pour avoir vendu des œufs bio qui n’en étaient pas...
La même semaine, je lis ce que j’avais déjà écrit l’été dernier : à savoir que 90% des vins contiennent des pesticides (2).
Au même moment, on apprend qu’on nous cache la valeur calorique des fibres sur les étiquettes...
C'est clair maintenant, les "alimenteurs" sévissent à tous les étages.
Un cancer sur deux est lié à de mauvaises habitudes alimentaires
Pourtant, il faut bien manger ! « Bien » dans le sens où le plaisir de manger doit rester intact et ne pas nous rendre dingue. « Bien » dans le sens où l’alimentation est l’un des meilleurs moyens de prévention du cancer et des maladies de civilisation.
Les cas de cancers dans le monde devraient augmenter de 75% d'ici à 2030, selon une étude publiée en 2012 dans « The Lancet Oncology ». Or 50% des cancers déjà sont liés à de mauvaises habitudes alimentaires. C’est un minimum sachant que c’est l’Académie de Médecine qui le dit...
La place centrale de notre rapport à l’alimentation dans le développement des cancers ne fait aucun doute. C’est ce que martèlent depuis des années quelques experts indépendants comme le Pr Henri Joyeux. Ce cancérologue pionnier de la prévention primaire par l’alimentation l’a dit bien avant feu l’excellent David Servan-Schreiber.
« Mieux vaut un bon menu qu’une ordonnance ! »
Professeur de cancérologie et de chirurgie digestive à la Faculté de Médecine de Montpellier, Henri Joyeux est l’un des meilleurs spécialistes français en nutrition, alimentation et cancer. Il aime à citer Jean Rostand. C’est sa façon à lui de traduire le premier précepte hippocratique. Dans sa préface de « L’alimentation ou la troisième médecine », œuvre maintes fois rééditée de son ami Jean Seignalet, il rappelle cette évidence : « c’est la nutrition qui fait l’unité du corps humain cohérent ». 
Nous sommes ce que nous mangeons mais hélas tous les conseils nutritionnels ne vont plus dans le même sens, d’où l’intérêt de rappeler les fondamentaux.
Les conseils essentiels d'Henri Joyeux pour éloigner le cancer et les maladies chroniques
Nous portons tous en nous des cancers potentiels, explique Henri Joyeux. Des cellules dormantes qui possèdent un potentiel de transformation cancéreuse. Voire de minuscules tumeurs peut-être, tapies, endormies. Alors ne les réveillons pas et ne les stimulons pas par de mauvaises habitudes alimentaires ou des comportements dangereux.
Il conseille donc d'éviter autant que possible 3 types de produits : 
  • les viandes rouges et les charcuteries,
  • les produits laitiers,
  • le gluten.
1 - La viande doit redevenir un aliment spécial
C’est exactement ce que prône un tout récent rapport des Nations unies pour l’environnement, pour des raisons évidemment écologiques. Mais ce qui vaut pour la planète vaut pour notre écologie personnelle : il nous faut réduire drastiquement notre ration de viande.
Cela nous évitera bien des acides gras saturés et des complications.
L’idéal est de revenir à l’alimentation des années 50, juste avant que nos habitudes alimentaires ne basculent du végétal à l’animal.
Manger de la viande exceptionnellement et de préférence blanche, dans des plats où celle-ci n’est pas l’ingrédient principal. Priorité aux légumineuses (attention au mode de cuisson, qui doit rester léger), avec des petites bouchées de viande. C’est aussi ainsi que l’on se nourrit encore dans les pays les plus démunis et l’on ne s’en porte pas plus mal malgré la pauvreté.
2 - Laissez les produits laitiers aux veaux...
Les sécrétions des mamelles de la vache sont bonnes pour le veau. Pour l’enfant, la nature a fait le sein maternel.
Retenons que les produits laitiers contiennent trois familles de facteurs de croissance : 
  • les EGF : facteurs de croissance épidermique, 
  • les TGF : facteurs de croissance de transformation (squelette, articulations, muscles...),
  • les IGF : facteurs de croissance de l’insuline.
Ces trois facteurs de croissance sont dangereux pour l’être humain. Encore une fois, ils sont destinés au veau. Or un veau, un an après sa naissance, pèsera avec ce régime 350 kg quand un petit d’homme atteindra 5 kg...
Ces facteurs de croissance ne sont pas détruits par le mode de conservation UHT, l’ultra haute température (consistant à porter le lait à 140° pendant 3 à 4 secondes) et vont attaquer notre foie, notre pancréas, nos muscles... Nos grands-mères faisaient mieux : en faisant bouillir le lait jusqu’à obtenir une crème de surface qu'elles évacuaient, elles éliminaient ces facteurs de croissance.
Trois produits laitiers par jour : la voie royale vers la maladie chronique
Se gaver de produits laitiers, c’est donc se gaver d’hormones de croissance inadaptées à notre organisme. Ce n’est pas un hasard si les nouveaux traitements en cancérologie passent pas des thérapies ciblées sur le tissu tumoral, des anti-angiogéniques, autrement dit des anti-facteurs de croissance.
A quoi bon consommer ces facteurs de croissance pour se soigner après avec leurs antagonistes ? 
Et que penser des recommandations du Programme National Nutrition Santé 2011-2015 qui impose encore 3 produits laitiers par jour pour les enfants comme pour les adultes ?
Pour le calcium ? Les produits laitiers nous en apportent 3 fois trop. Sachant que le calcium n’est absorbé qu’à 35% par notre métabolisme, le reste va aller calcifier notre squelette, nos articulations, irriter notre côlon. Avec arthroses, maladies auto-immunes et cancers à la clé.
Pour le sucre ? Le lactose entraîne de « lactolisme » pour reprendre l’expression d’Henri Joyeux !
3 - Réduire ou supprimer le gluten
En transformant génétiquement notre froment (les épis montaient bien plus haut dans les champs de blé des années 50), l’agriculture intensive nous a exposés à des dangers qui ne cessent de croître.
Vous êtes toujours ballonné, vous avez des gaz, une mauvaise excrétion ? Vous êtes plutôt souvent fatigué ? Vous souffrez peut-être de la maladie coeliaque. Facile à déceler soi-même : il suffit de se passer pendant 15 jours :
  • de pain, même complet,
  • de pâtes,
  • de pizzas,
  • de viennoiseries et autres biscuits.
Si au bout de 15 jours les symptômes diminuent ou disparaissent, c’est que l’on est intolérant ou allergique au gluten.
Le gluten des produits à base de blé, de maïs, de seigle, d’orge, mais aussi de kamut ou d’épeautre favorise la porosité intestinale. Autrement dit l’intoxication générale de nos organes : les mauvaises molécules comme celles du lait, au lieu d’être évacuées par notre côlon, vont aller réveiller nos cellules à potentiel de cancérogénicité. Et détruire notre système immunitaire, d’où l’explosion des maladies auto-immunes.
Attention en particulier au pain moderne qui outre sa pauvreté nutritionnelle nous apporte presque à lui seul la quantité de sel dont notre organisme a besoin au quotidien. Salez vos plats par dessus et on connaît le résultat...
Du bio, de saison. Ça va sans dire... mais ça va mieux en le disant...
Quel que soit son choix alimentaire, le plus important est de manger bio et avec mesure, c’est un préalable. Bio, si l’on peut. Cela a un prix que tout le monde ne peut s’offrir. Mais on peut au moins manger des produits de saison en se rapprochant le plus possible de l’agriculteur-producteur (le premier acteur de santé).
Prudence par contre sur les conserves et les surgelés, même bio, vecteurs d’helicobacter pylori (direction l’estomac) ou de bactéries dévastatrices (direction l’intestin et sa flore), inflammatoires et cancérigènes à la longue. A consommer avec modération.
Savoir conserver les aliments et les protéger de l’oxydation
Attention en fait au mode de conservation tout court : si vous achetez du bio et que vous ne savez pas le conserver, cela ne sert à rien.
Vous connaissez le danger de certaines bactéries mais peut-être ignorez-vous que les antioxydants mal conservés deviennent pro-oxydants. Je vous renvoie ici à un excellent livre hélas trop peu connu : « L’oxydation des aliments et de la santé » (5). Jean Morelle, qui l’a écrit peu avant sa mort, y explique comment par exemple introduire dans la cuisine certains légumes pour contrecarrer le phénomène d’oxydation du plat... Ce chercheur atypique, biochimiste, a consacré sa vie au stress oxydatif, générateur de bien des maladies.
Les 12 grand conseils de santé du Pr Joyeux
Voici 12 conseils à suivre (en persévérant !) pour prévenir non seulement les cancers et leurs récidives mais aussi les maladies de civilisation : diabète, surpoids, maladies auto-immunes, des rhumatismes à l’Alzheimer... L’alimentation y tient une place forcément centrale...
1. Faire de l'exercice régulièrement en transpirant pour éliminer les pollutions des pesticides, insecticides... : au moins deux fois 30 mn par semaine. Vous ferez fondre votre gras en excès, perdrez du poids et renforcerez la masse musculaire.
2. Eviter le surpoids excessif : pas plus de 5 kg par rapport à votre poids idéal. Ne suivez aucun régime, mais mangez mieux et meilleur et vous perdrez 1 kg par mois (voir Le livre « Changez d’Alimentation – l’Atout Bio », ci-dessous).
3. Si vous voulez avoir des enfants, le mieux est avant 30 ans ET si vous avez des enfants, allaitez-les au moins 6 mois.
Attention au ”Parlodel” destiné à couper la lactation. L'allaitement maternel, c'est l'idéal pour la santé du bébé (point besoin de vaccinations pendant ce temps) et pour la santé des seins de la maman.
Pour les hommes soyez des pères modernes, attentifs, capables de cuisiner et de faire le ménage…
4. Si vous voulez fumer, gardez une ou deux cigarettes par jour, pas plus, ET évitez le tabagisme passif. Les risques de cancer sont au niveau des voies respiratoires, de la vessie, du cerveau.., des troubles vasculaires, cardiaques, cérébraux, l’Alzheimer et le Parkinson.
Le cannabis et les drogues dures, en plus des dégâts pour le cerveau (schizophrénie, névroses, psychoses, dépressions), réduisent les défenses immunitaires et peuvent faire le lit de cancers gravissimes d'évolution très rapide.
5. Buvez au total 3 grands bols par jour : le matin de tisanes de thé, thym, romarin, sauge… et le soir  verveine, camomille, tilleul, achillée millefeuille...  + 3 verres d'eau au repas et un verre (ballon) de bon vin bio à la fin de chaque repas.
Ni coca, ni soda, ni Nutella... ils apportent trop de sucres, sources de gras (dans le foie et sous la peau), et ne consommez jamais de faux sucres et de produits light même si vous êtes diabétique.
Un à 2 cafés pas plus par jour, avec un carré d’Omegachoco pour votre palais des saveurs.
6. Consommez plus de calcium végétal qu’animal. Et pour le calcium animal, choisissez en priorité les produits laitiers des petits animaux, chèvres et brebis (1 seule portion par jour). Pas de produits laitiers liquides ou semi-liquides, ils contiennent trop de sucres sous forme de lactose dont vous ferez du gras.
Mastiquez pour saliver et goûter, vous régalerez votre palais des saveurs.
7. Augmentez la consommation de salades et autres crudités + 4 à 6 fruits frais par jour, si possible bio et de saison, dont un fruit frais à chaque récré… pour les enfants en âge scolaire.
Pas de compotes, elles contiennent trop de sucre et vous ne les mastiquez pas.
Le meilleur sucre est le fructose présent dans les fruits frais, mais aussi dans les miels non chauffés de proximité (surtout acacias et châtaigniers que peuvent consommer les diabétiques en petite quantité).
Arrosez vos salades d’huile d’olive bio, vierge, première pression à froid et de jus de citron.
8. Consommez fruits secs et oléagineux (noix-noisettes-amandes-pignons) et légumineuses cuites à la vapeur douce de courte durée, quelques minutes pour être al dente.
Les légumineuses seront à croquer, conserveront leurs goûts, leurs phytohormones et toutes leurs fibres, utiles pour votre flore intestinale et nettoyer les côlons pour l’évacuation des déchets, évitant ainsi la constipation source de pullulation et putréfaction intestinales.
9. Consommez poissons et fruits de mer, 2 à 3 fois par semaine, pour avoir l'iode pour votre thyroïde, les oméga 3, les minéraux et les oligo-éléments pour nourrir vos neurones. Faites travailler vos connections neuronales et vos neurones en évitant les nombreuses émissions débiles à la télévision, lisez, cultivez vous, détendez vous astucieusement en famille.
10. Evitez les plats trop cuisinés. Cuisinez TOUT à la vapeur douce, abandonnez les micro-ondes, la cocotte-minute, les fritures… qui abiment les qualités nutritionnelles des aliments.
11. Consommez moins de gluten, car si vous avez la moindre intolérance, il est responsable de porosité intestinale. Il est présent dans les pains, pizzas, pâtes, viennoiseries, biscuits qui se comportent comme des sucres. Les remplacer par les pains des fleurs, graines et farines de sarrasin, millet, quinoa, châtaigne.
12. Evitez au maximum les consommations hormonales prolongées, idéalement moins de 5 ans pour la contraception et mieux pas du tout. Faites prendre aux hommes leurs responsabilités avec le préservatif qui est sans danger pour personne. Pas de traitement hormonal à la ménopause en dehors des phytohormones à la demande.
Ces bons conseils en poche, vous pouvez vous alimenter sereinement en faisant votre propre cuisine. A propos, un dernier conseil de Madame Joyeux cette fois : faites-la en chantant, cela n’en sera que meilleur !
Prenez soin de vous,
Dominique Vialard
avec l'aimable participation du Pr Joyeux et de son épouse

le genre de message triste et manipulateur....

... le genre de message, triste... manipulateur..... (voir à la fin, en gros rouge) et n'allant pas dans une direction de respect de TOUS les humains

- il y a longtemps que l'argent n'est plus le fruit du travail..... 

l'argent appelle l'argent...c'est une réalité.

Pourquoi un enfant de parents "riches" devrait-il recevoir l'argent lors d'une succession, sans en donner une partie légale aux impôts, comme pour le fruit du TRAVAIL ?
IL SERAIT TEMPS de penser à transmettre d'autres valeurs.... de partage ? de reconnaissance des besoins de l'autre ? de ceux qui sont moins bien lotis ?...
En même temps.... construire une société où chaque jeune pourra avoir accès aux études,
d'ailleurs pourquoi les jeunes qui ont eu la chance de faire des études (est-ce plus "crevant" d'étudier que de travailler en usine sans autre perspective ?.... est-ce vraiment un choix délibéré ?.... ) devraient-ils prétendre d'office à un salaire plus élevé que celui qui a (même choisi) de travailler à 16 ans... pour une raison ou une autre....
Celui qui a pu se nourrir de "savoirs" a peut-être moins besoin de compensation financière.... ?
tout comme celui qui est en bonne santé peut donner une part à la personne handicapée qui ne possède pas cette richesse inestimable...
Il serait temps de "vénérer" d'autres valeurs que l'argent.
Le parent qui transmet le respect, le courage de vivre, l'optimisme, la joie.... mais quel héritage !
le problème est que l'argent a tout envahi, il est le repère, le laisser-passer, le m'as-tu-vu, le poids sur la balance, le sésame-ouvre-toi, la condition, la "rassurance", ...

quel manque de respect dans la phrase "Hollande t'en pique pour donner aux... " "étrangers"... 
"il vaut mieux être informé"... ce texte n'est pas de l'information mais un appel à une fermeture, comme un enfant qui dirait "non c'est à moi, t'en auras pas".... sauf que là il s'agit d'un choix de société...
au-delà d'une certaine somme, l'argent ne sert plus à vivre..... c'est à ce moment qu'il faudrait donner pour que l'autre puisse simplement se nourrir.....
et ne pas se retrancher derrière "ses parents n'ont rien foutu"..... il n'a pas fait l'effort de travailler à l'école" etc.... on sait bien que ce sont des hasards de circonstances..... "qui es-tu pour être né dans une "bonne"famille... dans telle ville, pays.....?"
Comment te sentirais-tu si tu devais migrer dans un autre pays parce que chez toi il n'y a plus d'avenir..... ni pour toi, ni pour tes enfants...

637000 euros hors fiscalité.... peut-on trouver cela normal de "gagner" cette somme sans en rétrocéder une part.... comme ce qui se fait pour les salaires, fruit d'un travail... parfois pénible.. ..

637000 euros.... un français "moyen"..... ????

celui qui travaille à 2000 euros par mois (un bon salaire !), rétrocède un pourcentage au titre des impôts.... mais l'héritier qui récolte 500000 euros ne devrait pas payer de taxe ? ... étrange....
"la fiscalité frappe" ?... à quoi sert la fiscalité ? posez-vous la question..... c'est là le choix de notre société....est-ce pour enrichir encore les plus riches..... ou mettre à la portée du plus grand nombre d'humains les moyens de vivre dignement ?

VOICI LE MESSAGE (parmi d'autres) QUI TOURNE SUR LE NET.... qu'on ne devrait pas lire en diagonale....pour nourrir ses peurs viscérales du manque..... plutôt les reconnaître... et partager, c'est peut-être ce qui nourrit le mieux.... soi et l'autre....


les notaires sont débordés depuis quelques jours.
GROS DANGER
 
En clair, quand t'es mort, tes enfants ne récupèrent plus en totalité la vente de ta maison !
 
Hollande t'en pique une bonne partie pour donner aux...
TU SAIS... LES NOUVEAUX ARRIVANTS QU'IL VISE DE RECUPERER DANS SON ELECTORAT 
En lisant l'opuscule que Monsieur HOLLANDE distribue à tout va, il annonce (page 16) les mesures en matière de défiscalisation sur les successions. Gros danger pour les classes moyennes. Nous prendrait-il pour des gens qui ne savent pas lire entre les lignes !
Voici de quoi il s'agit:
Jusqu’à ce jour et grâce à notre ancien Président de la République, un enfant héritant de ses parents bénéficie de 159 325 euros d’abattement par parent soit 318 650 euros sans être frappé par la fiscalité.
De nombreux couples de la classe moyenne ayant deux enfants, ceux-ci peuvent hériter de 637 300 euros hors fiscalité.
Dans ce système la préservation du patrimoine entre générations est donc assuré pour une grosse majorité de                                                           Français moyens. 
Monsieur HOLLANDE nous annonce que « l’abattement sur les successions sera ramené 100 000 euros par enfant ».
Il n’est plus question de 159 325 euros par enfant et par parent, mais de 100 000 euros d’abattement pour solde de tous comptes.
Cela signifie simplement que les enfants d’un couple de français moyens, de droite comme de gauche…
devront reverser à l’Etat une grosse partie du fruit du travail de leurs parents.

 
Illustration :
 
Pour un patrimoine transmissible de 500 000 euros avec deux enfants :
Dans notre système actuel, la fiscalité ne frappe les deux héritiers qu'’à partir de 637 300 euros ; le patrimoine familial est donc préservé et totalement transmissible en l’état. 
Dans le système HOLLANDE, les héritiers seront taxés sur la différence entre la valeur du patrimoine transmis et l’abattement                                                           de 200 000 euros (100 000 euros par enfant) soit 300 000 euros
Selon le barème de ce jour http://vos droits.service-public.fr/F456.xhtml (tranche imposable de 15 932 à 552 324 euros : 20% )
il devraient subir un prélèvement fiscal de 60 000 euros (30 000 euros chacun). 
Où est donc la protection de la classe moyenne , plus particulièrement de ses enfants ? 
Où est la préservation des générations futures mise en avant par le candidat socialiste ? 
Comment dynamiser l’économie par une relance de la consommation en puisant sur les revenus des générations futures ? 
Vous qui lisez cette simple démonstration, faites savoir à votre entourage les dangers qui guettent nos enfants après que la gauche en France a élu HOLLANDE . Ca ne fait que commencer ! ! ! ! 
Dénoncez publiquement les moyens discrets mais combien dangereux, envisagés par monsieur HOLLANDE, pour voler le produit du travail du français de la classe moyenne et priver ses descendants d’une partie de celui-ci
Je fais suivre... (il vaut mieux être informé...)

mercredi 6 mars 2013

l'effet "coca" etc... bon à lire..

Ce qui arrive dans votre corps 30 mn après avoir bu un Coca
Soleil, chaleur, gorge sèche. Votre main se referme sur la canette en fer-blanc, glacée, et constellée de
petites gouttes d'eau.
Vous faites pivoter l'anneau du couvercle...« Pshhht ! », c'est le soulagement.
Le liquide pétillant s'écoule à flots dans votre gorge. Le gaz carbonique vous monte au nez,vous fait
pleurer, mais c'est si bon ! Et pourtant...
Une dizaine de minutes plus tard
La canette vide, vous avez avalé l'équivalent de
10 morceaux de sucre !
[1] En principe, vous devriez
vomir d'écœurement [2] Mais l
'acide phosphorique
contenu dans la boisson gazeuse masque le sucre par
un goût acidulé, donnant ainsi l'illusion de désaltérer. [3]
Après une vingtaine de minutes
Votre taux de
sucre sanguin augmente brutalement,
mettant une première fois votre organisme à l'épreuve.
Votre pancréas s'emballe, sécrète de l'insuline en masse. Celle-ci est malgré tout vitale, elle seule peut
permettre de transformer l'énorme surplus de sucre que vous avez dans le sang en graisse, ce que votre
corps est mieux capable de supporter. En effet, il peut stocker la graisse sous forme de bourrelets, certes
disgracieux, mais provisoirement inoffensifs, tandis que le glucose est pour lui un poison mortel lorsqu'il est
en haute dose dans le sang. Seul le foie est capable de stocker le glucose mais sa capacité est très
limitée.
Après une quarantaine de minutes
La grande quantité de caféine présente dans le Coca est entièrement absorbée par votre corps. Elle
dilate
vos pupilles
et
fait monter votre pression sanguine
.
Au même moment, les stocks de sucre dans votre foie saturent, ce qui provoque le
rejet du sucre dans
votre sang
.
Après
¾
d'heure
Votre corps se met à produire plus de
dopamine
. Il s'agit d'une hormone qui stimule le « centre du plaisir »
dans le cerveau. Notez que la même réaction se produirait si vous preniez de
l'héroïne
.
Et ce n'est pas le seul point commun entre le sucre et les drogues. Le sucre peut également provoquer une
dépendance
. A tel point qu'une étude a démontré que
le sucre était plus addictif que la cocaïne
. [4] Ce
n'est donc pas un hasard si « l'accro » qui s'apprête à boire son Coca est aussi fébrile qu'un narcomane en
manque.
Après 1 heure
Vous entrez en chute de sucre (hypoglycémie), et votre niveau d'énergie, aussi bien physique que mental,
s'effondre.
Pour éviter cette cascade de catastrophes, la seule véritable solution est de boire de l'eau.
« Je ne suis pas une plante verte ! »
Il est difficile de se remettre à boire de l'eau quand on s'est habitué pendant des années à des boissons
sucrées ou du moins composées (café, thé, vin, bière...).
On croit ne plus pouvoir se contenter du goût fade de l'eau. « Je ne suis pas une plante verte ! » ; « L'eau,
c'est pour les bains de pied ! » s'amuse-t-on à dire à table en empoignant la bouteille de vin rouge.
En réalité, le mal est souvent plus profond qu'une affaire de goût. Les personnes qui rechignent à boire de
l'eau sont souvent des personnes qui n'ont pas vraiment soif. Et si elles n'ont pas soif, c'est parce que,
généralement, elles manquent d'exercice physique.
Lorsque vous avez bien transpiré, au travail ou au sport, boire plusieurs verres d'eau n'est pas seulement
une nécessité – c'est un suprême plaisir.
Ma mère m'avait inscrit avec mon grand frère dans un club de judo. Nous étions quarante garnements
dans une salle municipale de 30 mètres carrés éclairée au néon et garnie de tatamis, qui n'était aérée que
par un étroit vasistas. Après un intense échauffement où nous devions sauter, courir, puis faire des séries
de pompes et d'abdominaux, le professeur nous faisait enchaîner les prises, combats debout et au sol,
avant de terminer (c'était le meilleur moment !) par une grande bataille de « petits chevaux » où, monté sur
le dos d'un camarade, il fallait précipiter les autres par-terre.
A la fin du cours, rouges, soufflants, suants, nous nous élancions vers les vestiaires où se trouvaient, au
dessus de grandes vasques attenantes aux urinoirs, des robinets-poussoirs d'où sortait de l'eau chaude
mais, en ces moments, si savoureuse ! L'odeur des latrines n'empêchait aucun d'entre nous de s'en remplir
l'estomac avec délice. Les plus pressés appliquaient directement leur bouche sur le robinet, tandis que les
autres, plus civilisés, formaient une cuvette avec leurs mains et lapaient sans reprendre haleine le précieux
liquide. Je n'ose penser à la quantité de mucus et de microbes qui s'échangeaient à cette occasion.
Toujours est-il que je ne me souviens pas avoir jamais bu meilleure boisson que l'eau des cabinets de
notre club de judo.
Pourquoi arrêter le Coca
Réfléchissez-y. Après l'effort, vous pouvez aussi avoir envie de boire un Coca-Cola ou une bière bien
fraîche, mais vous vous rendrez compte que cela ne vous procure pas un plaisir aussi intense que l'eau.
L'eau est le plaisir suprême quand on a vraiment soif, de même que, lorsqu'on a faim, lors d'une grande
promenade en montagne par exemple, il n'y a rien de tel qu'un saucisson, qu'on ne touchera plus une fois
rentré à la maison et repris le rythme habituel.
Mais il n'y a pas que le plaisir. Boire de l'eau réduira votre consommation de toutes les substances
néfastes qu'on trouve dans les sodas, à commencer par :
• l'acide phosphorique, qui interfère avec le métabolisme du calcium, et cause de l'ostéoporose ainsi qu'un
ramollissement des dents et des os ;
• le sucre, facteur de diabète, maladies cardiovasculaires, inflammation chronique, arthrose, cancer ;
• l'aspartame : il y a plus de 92 effets secondaires liés à la consommation d'aspartame, dont les tumeurs
cérébrales, l’épilepsie, la fragilité émotionnelle, le diabète ;
• la caféine, qui provoque tremblement, insomnie, maux de crâne, hypertension, déminéralisation et perte
de vitamines.
Sans compter que l'acidité du Coca-Cola est
désastreuse pour les dents
. Avez-vous déjà remarqué comme
vos dents sont râpeuses après avoir bu du Coca-Cola ? Plus acide que le jus de citron, il peut-être utilisé
pour décaper les pièces en métal (faites l'expérience de laisser une pièce sale de 50 centimes pendant
une demi-heure dans un verre de Coca). L'émail de vos dents devient poreux, jaunâtre, grisâtre lorsque
vous buvez souvent du Coca-Cola et c'en est la conséquence.
Inutile enfin, de parler des effets sur l'obésité : surtout chez les enfants, la consommation de sodas
augmente le risque de 60 %. Il n'y a aucune bonne raison de faire boire des sodas à vos enfants, sauf si
vous voulez
• augmenter leur risque de diabète ;
• augmenter leur risque de cancer ;
• leur créer une dépendance au sucre.
Alors voilà une bonne source d'économies en ces temps difficiles : ne plus laisser aucune boisson sucrée
franchir le seuil de votre maison. Et réapprendre à boire de l'eau : commencez votre journée par boire un
grand verre d'eau, avant même le petit-déjeuner. Vous ferez un merveilleux cadeau à vos reins, eux qui
travaillent si dur à nettoyer votre sang toute la journée. Ils seront plus sains, plus propres, et vous vous
sentirez en meilleure forme.
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis