jeudi 31 mai 2012

les pauvres s'endettent plus.... ?

"Logement : les ménages pauvres s'endettent plus pour acheter"

lu dans le Monde, aujourd'hui

drôle de remarque.... ceux qui ont plus de moyens n'ont pas besoin de s'endetter pour acheter...

 

jeudi 24 mai 2012

pourquoi l'Alliance ?

"pourquoi choisir de faire connaître l'Alliance ?"

La première réflexion qui me vient est que l'ALLIANCE donne des clés pour "le vivre ensemble" dans ce monde où chaque personne, chaque animal, chaque végétal, chaque pierre doit pouvoir trouver sa place et "être" ce pourquoi il est.
La différence est une richesse.

La phrase qui ne cesse d'habiter mon esprit est celle-ci : "nous sommes tous une vie qui veut vivre parmi toutes ces vies qui veulent, elles aussi, vivre", que notamment Albert Schweitzer a amplement développée et mise en pratique.
De plus, l'écologie ne s'arrête pas la protection des plantes même si celle-ci est un bon début.

L'écologie relationnelle fait cruellement défaut dans la sphère politique.

Hurler, combattre, écraser l'autre, l'enfermer, médire, diviser, voilà le quotidien d'un politicien classique qui a toutes les chances de se faire entendre dans les médias actuels.
l'AEI est un parti qui n'utilise pas ces armes.

J'ai eu l'occasion d'écouter plusieurs conférences et de lire certains livres de Jean-Marc GOVERNATORI et toujours j'y ai entendu et lu un grand respect, couplé avec l'immense courage d'exposer ses idées novatrices et concrètes dans les différents domaines tels que :

- financier : limiter le pouvoir qu'a pris l'argent sur l'humain en le remettant au service de l'humain, sa fonction initiale,

- éducatif : transmettre non seulement le savoir, mais tout autant le "savoir-être",

- la santé : la reconnaissance des médecines "non conventionnelles" et permettre à chacun de faire son choix éclairé (pour moi il s'agit d'une liberté fondamentale dans une société), et aussi mettre la notion de santé humaine en relation avec la santé animale et végétale,

- la démocratie :  donner l'occasion au citoyen de s'exprimer en élargissant les moyens d'expression (par exemple la prise en compte du vote blanc),  sensibiliser les politiciens à leur rôle de représentants responsables bien plus que de détenteur d'un titre honorifique.

Comme beaucoup de gens en ce moment, il m'arrive de critiquer le fonctionnement de cette société dans laquelle il est de plus en plus difficile de vivre dignement.

Un jour il m'est apparu que se limiter à fustiger les "grands" de ce monde ne me satisfait pas.

L'idée que chacun peut, à son petit niveau, poser une pierre à l'édifice, ou un caillou, ou un grain de sable, peut-être du ciment, ou de l'eau... ou simplement mesurer, faire un plan, suivant sa capacité et ses dons naturels, a fait son chemin.

Chaque matériau, soigneusement choisi, s'il est respectueux de l'autre qu'il a vocation de compléter, a une égale importance dans la construction de notre monde en perpétuelle évolution.

Voilà donc comment je vois le "vivre ensemble".

Pour conclure et comme je ne veux pas faire de politique, l"autre possible" que propose l'AEI est un premier pas sans lequel tous les autres ne sont simplement pas possibles.

C'est pourquoi je me mets en marche vers une utopie qui est davantage un moteur qu'un but à atteindre.


le lien vers les propositions concrètes de l'AEI :

http://www.alliance-ecologiste-independante.com/nos-propositions/nos-propositions-concretes

le travail ne manque pas alors pourquoi le chômage ?

pourquoi ceux qui travaillent sont-ils autant sollicités alors que le chômage ne cesse d'augmenter.... c'est incompréhensible
(ou dramatiquement compréhensible quand on sait que l'argent est maître dans tous les domaines) je ferme la parenthèse et me remets au travail !

mardi 22 mai 2012

Le jean de Cécile DUFLOT

 je préfère voir Cécile DUFLOT en jean au Conseil des Ministres qu’en robe de marque qui coûte le salaire mensuel moyen de la moitié des français et des talons tellement haut que marcher devient un exercice d’équilibriste.
Et peut-être même que le déhanchement risque de déconcentrer la gent masculine (rire...) de la raison qui doit d’ailleurs nous motiver tous, du plus petit jusqu’au plus haut placé, dans chaque décision, chaque parole prononcée surtout publiquement (très sérieux) : faire en sorte que le vivre ensemble digne pour tous soit notre souci premier. Qu’il soit le filtre dans le choix de nos actes, de nos paroles et même de nos pensées.... l’étalon de nos décisions, en quelque sorte.
... et l’utopie est davantage un horizon qu’un but à atteindre !
Elle permet le premier pas, sans lequel tous les autres ne sont simplement pas possibles.
Voilà ce que m’évoque le jean de Cécile.

dimanche 20 mai 2012

l'histoire du "E" à EdithE

le E a été ajouté arbitrairement par l'agent d'état civil de l'époque de ma naissance... il a dit à mon père qu'Edith prenait un "E" en France.... pas de "E" en Allemagne... alors mon père a dit d'en mettre un... et depuis, de la maternelle jusqu'en terminale, à la rentrée, on se demandait si je savais écrire mon prénom.... puis sur les papiers administratifs, les formulaires..... j'ai toujours défendu mon "E".... pour l'équilibre visuel... mais aussi pour le clin d'oeil et la légèreté agréable de maintes conversations qui n'auraient pas eu lieu... voilà l'histoire de EdithE.

samedi 19 mai 2012

la pollinisation du territoire... chacun à sa mesure, là où il vit


 
A l'instar d'une initiative qui a débuté en 2008, dans la ville de TODMORDEN en Grande Bretagne, à 25 km de Manchester, je souhaite poursuivre cette volonté de partager des légumes, des herbes aromatiques, des fruits, plantés ou semés où cela est possible, dans des pots suspendus ou posés par-terre, à disposition de tout le monde, au gré des envies et des besoins.
Une "pollinisation du territoire".
Si l'idée pouvait germer partout, nous tendrons vers l'autosuffisance alimentaire ("tendre vers"... c'est toujours ce qui devrait nous motiver, dans tous les domaines et non pas des résultats garantis..) ;
l'utopie est un horizon, là où porte le regard.
La photo jointe montre l'embryon du jardin suspendu, au 4ème étage, sur une passerelle appartement à la copropriété en plein centre de Strasbourg. Un début, un message... un symbole.
A FRELAND,, dans le Haut-Rhin ,"François du 67", membre du réseau Colibris de Pierre Rhabi, l'initiative est en train de prendre de l'envergure.
que nous soyons en ville avec peu de place, pas de terre..... ou à la campagne où l'on peut enchanter le regard et les papilles, semer, planter, partager, goûter ... n'est-ce pas merveilleux ?
Même un seul petit pot de conserve accroché à un grillage rouillé  enchantera le monde.
Et si l'idée se propage, le monde se transformera en Eden...
Et n'oubliez pas, l'utopie est un horizon, il ne s'agit pas de l'atteindre...

voici ce qui se passe sur le site de Colibris Alsace :

Appel à tous les Colibris pour participer à la vague de partage avec les incroyables comestibles

Bonjour les amis,
Vous êtes toutes et tous invités à participer à l'action des incroyables comestibles dans toutes les communes d'Alsace et de France. Une nouvelle rubrique "participation" a été mise en ligne sur notre site pilote de Fréland. La démarche est extrêmement simple à mettre en œuvre et nécessite peu de temps. Le plus important est l'entrée active dans le processus qui s'amplifie de proche en proche.
Que vous soyez seulement deux ou trois familles à vous lancer, ou même seul, vous pouvez "polliniser" votre village, votre quartier ou votre ville par cette simple méthode participative en cinq étapes. Une fois que vous serez rentrés dans le processus, vous deviendrez conscients de la vague collective de reconnexion et de partage qui s'amplifie de jour en jour dans le monde. Vous en ferez partie et vous serez rejoints et soutenus par tous les autres. C'est une merveilleuse occasion d'agir concrètement, chacun à sa portée, selon ses moyens.
À la suite de la méthode en cinq étapes proposée sur le site des Incroyables Comestibles de Fréland (lien ICI), vous trouverez des conseils pratiques et des exemples sur la façon de procéder. Et vous verrez, c'est très simple !

Le journal Le Parisien a publié un article mercredi 2 mai 2012 en citant en exemple notre initiative citoyenne en Alsace comme mouvement pouvant être généralisé sur toute la France. Déjà, plus de 40 territoires dans le monde on rejoint la démarche Incredible Edible Todmorden des communautés d'acteurs qui ont décidé de retrouver leur souveraineté de citoyens libres car autonomes et responsables de leur devenir. Regardez la Google Map (lien ICI) et découvrez à quel point c'est devenu une nouvelle réalité : les nouveaux territoires auxquels nous avons tous aspiré. Oui, c'est bien ce qui a fleuri à tous ces endroits, dans tous ces lieux, et à présent nous pouvons affirmer que nous sommes le changement que nous voulons voir pour le monde. C'est ici et maintenant.
À vous lire, et vous retrouver bientôt avec nous,
Bien amicalement

Appel à tous les Colibris pour participer à la vague de partage avec les incroyables comestibles



Oui, des jardins partout ; j'en rêve depuis longtemps. Faire pousser du végétal comestible sur les terre-plein et les pelouses fades et stériles. Planter sans savoir qui va récolter. Se servir au gré de ses envies et pérégrinations puisqu'il y en aura assez pour tous.
Nos estomacs ne seront pas les seuls à en profiter : nos villes seront belles, colorées, vivantes, changeantes.  l'air diffusera des senteurs oubliées depuis longtemps en milieu urbain. Les citadins préféreront marcher, ou se déplacer à vélo pour en profiter pleinement. le nombre de voitures diminuera tout naturellement. Le bruit ambiant aussi.
Un nouveau jour se lève.
Merci pour ces minutes de rêves. A nous de les réaliser. Chacun à son petit niveau.
Excellente idée, initiative. Vivent les pollens emportés par les vents d'Alsace.

J'ai une question néanmoins pour la nourriture à partager. Mon "domaine" privé est entièrement clos. A part planter un truc comme un groseiller près d'une barrière un peu basse, je ne vois pas quoi faire.
Une idée à partager ?

Merci pour ces commentaires encourageants.
C'est très simple, ce qui compte, c'est d'être cette vague du partage, chacun à son niveau, avec ses moyens, même les plus limités. Il y a sur notre site pilote de Fréland toutes les indications méthodologiques à la page "participation" (lien ICI). Pour participer à ce mouvement, il y a seulement 5 étapes, et de proche en proche, cela va grandir de façon exponentielle, comme c'est le cas dans tout le nord de l'Angleterre aujourd'hui et au delà.
Par exemple, si on a peu de place, peu de temps, peu de moyens à mettre en œuvre, il suffit de prendre une boite de conserve, de mettre de la terre dedans avec un comestible, ça peut être un pied de tomates ou n'importe quoi de votre choix, et de l'accrocher à une porte de garage ou à une barrière en bordure de l'espace public pour que les passants puissent y avoir accès.
En mettant le visuel des incroyables comestibles sur votre plantation, cela va susciter l'attention. Les voisins vont vous demander de quoi il s'agit, et les gens iront voir sur Internet, ils feront à un moment ou à un autre un rapprochement avec les articles parus dans la presse. Puis, quelqu'un dira, c'est génial, je veux participer ! Cette personne aura des moyens et mettra en œuvre 100 pieds de tomates. Votre action avec la boite de conserve aura servi à "polliniser" le voisinage. Et tout ira très vite car de plus en plus de gens aspirent à vivre autre chose, souhaitent vivre des expériences authentiques comme le partage en lien avec la terre et la nourriture produite localement.
Pour chaque action que vous réalisez, prenez des photos, pensez à partager vos idées avec les autres, créez un blog, mettez en ligne, communiquez ! Imaginez, qu'une seule personne suffit pour démarrer un processus illimité de partage et de reconnexion pour toute une ville ! C'est ce que nos amis ont réalisé à Todmorden. D'ailleurs, vous verrez sur leur site qu'ils se nomment "Todmorden unlimited" (lien ICI), la ville illimitée ! En trois ans, ils sont passés de la pénurie et de la peur du manque avec l'incertitude du lendemain, à l'abondance et la joie du partage avec la perspective d'un devenir serein pour tous. Ils nous ont transmis tout leur savoir-faire et les enseignements pour le réaliser à notre tour dans les meilleures conditions. Et ce qui a été fait en quatre ans à Todmorden, peut être à présent réalisé en quatre mois chez nous, le temps d'une saison jusqu'à la récolte. Bien sûr, pour réussir cela, il est essentiel d'intégrer la dimension collective de la démarche, d'où le besoin de communication.
Bien amicalement
François

C'est formidable, on attend cette photo avec impatience, on peut commencer à une seule personne, à deux ou à trois ou plus, c'est libre. Pense à associer les enfants autant que possible, c'est plus créatif et plus joyeux, et très vite les enfants sont rejoints par d'autres enfants...
Bonne "pollinisation" des incroyables comestibles sur les terres d'Alsace !
Bien amicalement

http://www.incredible-edible-todmorden.co.uk/
http://www.incredible-edible.info/
http://www.incredible-edible-colroy-la-roche.fr/
http://www.incredible-edible-freland.fr/?page_id=56
http://incredible-edible-valeriscle.fr/
et demain Guebwiller ???
Enjoy!
Voici le témoignage que nous venons de recevoir, c'est celui d'Avi, un beau récit, le lien est ICI.
Mais à mon retour je retiens l'idée de jardinières fixées sur mes barrières, avec des salades, des aromatiques...

Vivement août !

je viens de suspendre 3 jardinières sur la passerelle, en face de mon logement, au 4ème étage en plein centre de STRASBOURG. J'y sèmerai de la salade "permanente" qui pousse et repousse tout l'été (du moins dans un jardin..... à voir, je vous donnerai des nouvelles); Il s'agit de "chicorée à feuilles de GORIZIA en Italie".
je partage mon rêve de 2006 : pédiroute, un blog que j'avais oublié..... je viens de le redécouvrir, il existe encore sur le net.
je n'en ai pas oublié le sens.
Créons des pédiroutes comme des jardins partagés, partout.
Une époque, je marchais pour aller à mon travail, tous les matins ou presque. 1 h 30 à travers la forêt, les vignes, des petits villages alsaciens.Des levers du soleil magnifiques. Des fruits sur mon chemin. Parfois une conversation. Je me souviens d'une dame qui chantait devant la porte de sa maison. Le chant des oiseaux. Le soir, c'était différent. Quelques rencontres,  des échanges. Il faisait encore nuit quand je partais, avec ma lampe frontale. Des habitants du village essayaient de me prévenir des dangers. Puis ils se sont habitués. Moi aussi. Il fallait que j'arrive avant tout le monde au bureau, pour me changer, être présentable.
Une qualité de vie.
Puis le bureau a fermé. Il fallait optimiser...
J'ai dû racheter une voiture. Faire plus de 60 km tous les jours.
Je n'ai pas supporté. j'ai quitté. J'ai heureusement pu me permettre de gagner moins. Moins d'argent, mais plus de liberté.
Et je continue à marcher. A me déplacer à vél'hop en ville, ou avec mon VTC quand je vais plus loin. C'est mon outil de travail. Avec mes sandales de marche. Des KEEN....
bien sûr je dois de temps en temps utiliser la voiture, mais peu... tellement peu que j'ai dû la chercher à la fourrière parce que la ville avait prévu des travaux de jardinage, oh.... un petit carré devant un restaurant... et interdit le stationnement 3 jours avant... pendant que je prenais le train-vélo..... j'ai dû payer plus de 160 € pour cette inattention... le prix de mon VTC.
Edithe
http://pediroute.over-blog.com/articles-blog.html
il faudrait inventer le "pédistop" ; emmener les gens sur les sentiers.
Pièces jointes :
 

J'adore ce regard sur la vie simple. Merci pour ce partage. En lisant ton beau récit, il me revient à l'esprit les images des belles histoires d'Erckmann-Chatrian, comme "l'histoire d'un sous-maitre", je me régale.
Continue comme ça, et surtout, ne t'arrête pas.



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pédiroutes et jardins partagés

je partage mon rêve de 2006 : pédiroute, un blog que j'avais oublié..... je viens de le redécouvrir, il existe encore sur le net.
je n'en ai pas oublié le sens.
 Pédiroute,
Créons des pédiroutes comme des jardins partagés, partout.
Une époque, je marchais pour aller à mon travail, tous les matins ou presque. 1 h 30 à travers la forêt, les vignes, des petits villages alsaciens.Des levers du soleil magnifiques. Des fruits sur mon chemin. Parfois une conversation. Je me souviens d'une dame qui chantait devant la porte de sa maison. Le chant des oiseaux. Le soir, c'était différent. Quelques rencontres,  des échanges. Il faisait encore nuit quand je partais, avec ma lampe frontale. Des habitants du village essayaient de me prévenir des dangers. Puis ils se sont habitués. Moi aussi. Il fallait que j'arrive avant tout le monde au bureau, pour me changer, être présentable.
Une qualité de vie.
Puis le bureau a fermé. Il fallait optimiser...
J'ai dû racheter une voiture. Faire plus de 60 km tous les jours.
Je n'ai pas supporté. j'ai quitté. J'ai heureusement pu me permettre de gagner moins. Moins d'argent, mais plus de liberté.
Et je continue à marcher. A me déplacer à vél'hop en ville, ou avec mon VTC quand je vais plus loin. C'est mon outil de travail. Avec mes sandales de marche. Des KEEN....
bien sûr je dois de temps en temps utiliser la voiture, mais peu... tellement peu que j'ai dû la chercher à la fourrière parce que la ville avait prévu des travaux de jardinage, oh.... un petit carré devant un restaurant... et interdit le stationnement 3 jours avant... pendant que je prenais le train-vélo..... j'ai dû payer plus de 160 € pour cette inattention... le prix de mon VTC.
Edithe
http://pediroute.over-blog.com/articles-blog.html
il faudrait inventer le "pédistop" ; emmener les gens sur les sentiers.

jeudi 17 mai 2012

Désinformation manipulatrice.....

"Boire 3 tasses de café par jour diminuerait le RISQUE de décès....." ai-je lu dans le "Monde"

? .. .... ?

Prendre en considération 2 groupe de personnes : forcément l'un des 2 groupes aura un "avantage" sur l'autre (ou une différence).... il suffit alors de conclure que la différence est la cause de l'avantage.....

Et le tour est joué dans ce monde où l'on ingurgite rapidement pléthore d'informations de toutes parts.

par exemple : si dans le groupe où l'on meurt "moins" on trouve plus de gens qui disent des bêtises, on pourrait en conclure que dire des bêtises évite de mourir !

Je précise que je bois aussi du café...mais.... aïe aïe aïe.... qu'une seule tasse le matin....

mais comme je dis aussi de temps en temps des bêtises, cela doit compenser, ouf !

Le bon sens devrait être le filtre de nos déductions.

lundi 14 mai 2012

ministre, un "titre" ou une responsabilité ?

Un politicien, lors du dernier conseil des ministres ainsi constitué, pour "adoucir" la tristesse du départ :
"vous avez été Ministre ! vos petits enfants pourront un jour dire que leur grand-père a été ministre"

? ..... ?

l'apanage du titre et de l'apparence me choque.....

si j'étais le petit enfant en question, je demanderai à mon grand-père ce qu'il effectivement pu mettre en oeuvre en tant que ministre, qui est une charge, une responsabilité, plutôt qu'un titre, une couronne....

samedi 12 mai 2012

une belle évolution

http://zara-ecolo.over-blog.fr

une belle évolution
lire avant de critiquer
et quand on a lu, quand on connait mieux la personne, l'envie de critiquer passe.
au-delà de nos crispations, de nos peurs, de nos préjugés.... avoir cette volonté d'aller au-delà.
merci Esther-Zara

mardi 8 mai 2012

la prière du "Notre Peur"

Notre peur qui es en nous,
Que ton nom soit démystifié,
Que ton règne cesse.

Que notre volonté soit telle
Que sur la terre comme au ciel

Nous donnions aujourd'hui
Un peu de pain, beaucoup d'amour.

Pardonnons-nous nos errances
Et mélangeons nos différences
Avec ceux qui nous ont offensés.

Ne nous soumets pas à la tentation
De dire du mal,
Car c'est à nous qu'il appartient
De régner sans puissance et sans gloire
Aux siècles des siècles,

Amen.

l'utopie

L'utopie est une démarche, non une fin en soi ; elle permet de franchir le premier pas, sans lequel les suivants ne seraient tout simplement pas possibles.

chacun peut agir

"C’est par la sobriété que nous pouvons couper les vivres à ceux qui profitent de nos excès. "
Pierre Rabhi
cela veut dire que si nous arrêtons d'acheter les produits des sociétés qui paient leurs dirigeants à prix d'or, ceux-là même qui réduisent à l'état d'esclavage leurs employés, nous arrêtons d'alimenter le système de plus en plus inégalitaire. 
chacun de nous, à son petit niveau, peut donc agir très efficacement. 
La première étape consiste à faire le point sur nos besoins réels, nos goûts, nos priorités ; puis se rendre peu à peu conscient de l'influence de la publicité sur notre consommation. 
C'est ainsi que, petit à petit, nous reprenons la maîtrise de notre consommation et surtout, nous ramènerons l'économie de marché vers la satisfaction des besoins réels, pour tous.

lundi 7 mai 2012

on va devoir payer ?

"on va devoir payer".... entends-je de personnes après les élections présidentielles.
je réponds : payer taxes et impôts : oui, si c'est pour permettre à d'autres de simplement pouvoir se payer à manger, un logement, peut-être un peu plus...

mardi 1 mai 2012

des cadenas partout

Cadenasser un vélo, oui, c'est chose commune et nécessaire.
Mais attacher une plante !
J'ai vu une personne planter un petit arbuste dans un bac, devant un restaurant: elle a "menotté" le bas de la tige et a fixé l'autre bout à l'anneau du bac...
Depuis, je ne vois ces pots le long des immeubles de la même façon