La capacité d'acceptation de ce qui "dérange" chez l'autre est liée à notre besoin de sa présence, de combler un vide dont on a peur, ou bien ne pas vouloir vivre le changement qu'on appréhende - ou encore peur de décevoir... ou simplement envie d'un certain confort...
(conséquence) et le "moi" dans tout cela ? il ne lui reste plus qu'à crier sa désapprobation à d'autres occasions, dans d'autres oreilles, si ce n'est plus subtilement faire endurer à son proche sa propre insatisfaction au quotidien par des petites choses "sans importance"...
Inconsciemment on est amené à reprocher à l'autre notre incapacité à assumer notre choix pourtant personnel : celui de rester ensemble malgré tout.
Ou de se séparer....
de toutes façons cette dernière décision nous amènera aussi à assumer notre choix, face à nous-mêmes.... sauf si on cède à la tentation (courante, médisance partagée dans certains milieux...) - en l'absence de l'autre de préférence - à se justifier aux yeux des autres en dénigrant la personne autrefois "aimée"... tant qu'elle était conforme à nos attentes.
Ah que c'est compliqué ? .... non, terriblement simple quand on est capable d'assumer ses choix jusqu'au bout.
peut-être compliqué à exprimer.... à choisir les mots....
De toutes façons, la vie nous rattrapera pour nous mettre face à nous-même.... tôt ou tard ! ... il ne sert à rien de se "cacher à soi"....
A transposer au-delà du seul "couple".... dans d'autres "groupuscules", familiaux, professionnels, sociaux...
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